* D'où m'est venu l'idée d'écrire le roman "Belle et Bonne" ? Elle est née de ma propre réflexion sur les relations humaines. En observant les nombreux problèmes sentimentaux autour de moi, j'ai souvent été intrigué par les complexités de l'amour et les difficultés à construire des relations durables. Le concept du polyamour, avec ses promesses de liberté et ses défis, m'a toujours fasciné. J'ai voulu explorer cette thématique à travers l'histoire d'Antoine, un homme confronté à un choix cornélien qui va bouleverser sa vie et celle de ses proches.
* Je ne suis pas un partisan inconditionnel du polyamour, mais je suis fasciné par les questions que je soulève sur la nature de l'amour et de la relation amoureuse. Dans ce roman, j'ai voulu explorer les notions de liberté, de désir, de jalousie et de trahison.
* C'est en fréquentant régulièrement le hangar de l'exploitation forestière familial situé dans le Haut Doubs, que l'idée de "Belle et Bonne" a pris tout son sens. J'ai imaginé une histoire d'amour passionnée se déroulant dans ce cadre magnifique, mais aussi complexe. Les pâturages et les forêts de sapins m'ont inspiré pour créer des personnages forts et attachants, confrontés à des choix difficiles.
* Je reconnais que l'écriture de "Belle et Bonne" a été un véritable défi, car j'ai voulu aborder des sujets sensibles, sensuels, avec nuance et respect. J'écris habituellement un roman en trois ou quatre mois ; j'ai passé presque un an à rédiger celui-ci.